Gribouille à Petits Points

Comme on met dans les livres les mots venus du cœur

Les graines sont réunies en une sphère délicate

Offert à tous les vents chaque trait devient une fleur

Comme un petit soleil sur le bord du chemin.

Alain Hannecart.

Un non-anniversaire de déconfinement.

Craquage pour cette Alice et son petit magnet.

Un petit extrait de l'intérieur du livret. En retard!!!

Semer des graines au vent pour avoir de la confiture l'an prochain!!! 

Avec ces graminées point de rhume des foins.

Cela m'a fait plaisir de te revoir!!!!

L'appel de la forêt.

Du bonheur partagé.

Merci à vous qui passez me voir.

Geneviève. 

Mesdames et messieurs..., je vous signale que je vais parler pour ne rien dire. (...)

Mais, me direz-vous, si on parle pour ne rien dire, de quoi allons-nous parler ? Eh bien de rien ! De rien !

Car rien... ce n’est pas rien !

La preuve, c’est qu’on peut le soustraire.

Exemple :

Rien moins rien = moins que rien !

 Mes petites fleurs poussent.

Si l’on peut trouver moins que rien, c’est que rien vaut déjà quelque chose !

On peut acheter quelque chose avec rien !

En le multipliant !

 Un écureuil se promène dans les amourettes.

Une fois rien... c’est rien !

Deux fois rien... ce n’est pas beaucoup !

Mais trois fois rien !... Pour trois fois rien, on peut déjà acheter quelque chose... et pour pas cher !

Maintenant, si vous multipliez trois fois rien par trois fois rien :

Rien multiplié par rien = rien.

Trois multiplié par trois = neuf.

Cela fait : rien de neuf.

Oui... Ce n’est pas la peine d’en parler !

Raymond Devos.

Hexagones 1/2 pour de petites fleurs, les autres sont au montage.

Il me reste à tenter les micro hexagones pour de minuscules jardins

pour finir les restes.

Pas de fil conducteur se laisser porter par les tissus.

Prévoir des assemblages et finalement se tromper le bleu devient jaune,

aligner les petits points....

Les petites chutes de Maryse vont venir compléter ces fleurs. Merci!!!!

A suivre du papier et encore du papier.

Côté broderie je fais un point et j'en défait 20......

Ceux à monter...

Unis..

Fleuris...

A carreaux...

Merci à vous qui passez me voir.

Geneviève.

Quarante enfants dans une salle,
Un tableau noir et son triangle,
Un grand cercle hésitant et sourd
Son centre bat comme un tambour.

Des lettres sans mots ni patrie
Dans une attente endolorie.

Des fleurs pour mes hexagones de confinement.

Le parapet dur d'un trapèze,
Une voix s'élève et s'apaise
Et le problème furieux
Se tortille et se mord la queue.

La mâchoire d'un angle s'ouvre.
Est-ce une chienne?
Est-ce une louve?

Des jours sombres avec un morceau de ciel bleu.

Et tous les chiffres de la terre,
Tous ces insectes qui défont
Et qui refont leur fourmilière
Sous les yeux fixes des garçons.

Jules Supervielle.

Des jours colorés ou le coup de fil, les mails

de la famille, des copines ensoleillent une journée.

Même si nous avons pas mal radoté!!!!

 Et la vie qui reprend ses droits avec un coeur vert.

Reste à trouver un montage de mon premier jardin de Grand-Mère.

Peut être les appliqués sur des carrés.

A suivre les petits hexagones... qui eux explorent tous les styles de tissus.

Merci à vous qui passez me voir.

Geneviève. 

C'est bientôt la fête des MAMANS.

La Newsletter est visiblement restée aux abonnés absents.

Elle devrait être chez vous dans quelques minutes!!!

Ephémère.

Pour changer une tag qui pourra vous servir pour d'autres occasions.

Belle journée.

Merci à vous qui passez me voir.

Geneviève.

 La route en papier d'argent
Joue entre deux lacs de lune
à se prendre au sérieux... Jean,
Tes doigts sont tâchés de prune...

Branche frêle d'un corail
Au bracelet d'une haie;
La forêt en éventail
Bruit à l'appel d'une effraie.

Quelle est cette maison dans la forêt?

Marchons sans faire de bruit, chut!!!!

Le chêne est un peu sorcier.
Je n'ai pas mangé de prune
Mais des mures du roncier,
Il m'a griffée en rancune.

Jean, je réprime un frisson;
Il fait noir, là, sous la voûte
Où expire ma chanson.
Nos pas sonnent sur la route.

Ouvrons un volet et cachons-nous!!!

Le grand bras du noisetier
A pris la lune en sa pince.
Courrons, voici le sentier,
La porte du clos qui grince.

Je serre bien fort ta main;
Nous voici dans notre empire.
Nous nous referons demain
La même frayeur, pour rire.

Geneviève de Ternant (extrait de Passe Muscade).

N'ayons pas peur ce n'est que Louloute

l'apicultitrice qui récolte son miel!!!

Ma broderie est trop courte pour ce cadre mais l'idée fait son chemin

à refaire en cartonnage, peut être une maison 3 D, un patch

c'est en germination à suivre...  

Promenons-nous dans les bois - Parenthèse de Bonheur.

Créations Gribouille à Petits Points.

Merci à vous qui passez me voir.

Geneviève.        

Vivre du vert des prés et du bleu des collines,
Des arbres racineux qui grimpent aux ravines,
Des ruisseaux éblouis de l’argent des poissons ;
Vivre du cliquetis allègre des moissons,
Du clair halètement des sources remuées,
Des matins de printemps qui soufflent leurs buées,
Des octobres semeurs de feuilles et de fruits
Et de l’enchantement lunaire au long des nuits
Que disent les crapauds sonores dans les trèfles.

Saturnin est dans les fleurs, pour dire merci

et écrire le Bonheur jour après jour!!!

 Vivre naïvement de sorbes et de nèfles,
Gratter de la spatule une écuelle en bois,
Avoir les doigts amers ayant gaulé des noix
Et voir, ronds et crémeux, sur l’émail des assiettes,
Des fromages caillés couverts de sarriettes.
Ne rien savoir du monde où l’amour est cruel,
Prodiguer des baisers sagement sensuels
Ayant le goût du miel et des roses ouvertes
Ou d’une aigre douceur comme les prunes vertes
À l’ami que bien seule on possède en secret.
Ensemble recueillir le nombre des forêts,
Caresser dans son or brumeux l’horizon courbe,
Courir dans l’infini sans entendre la tourbe
Bruire étrangement sous la vie et la mort,
Ignorer le désir qui ronge en vain son mors,
La stérile pudeur et le tourment des gloses ;
Se tenir embrassés sur le néant des choses
Sans souci d’être grands ni de se définir,
Ne prendre de soleil que ce qu’on peut tenir
Et toujours conservant le rythme et la mesure
Vers l’accomplissement marcher d’une âme sûre.
Voir sans l’interroger s’écouler son destin,
Accepter les chardons s’il en pousse en chemin,
Croire que le fatal a décidé la pente
Et faire simplement son devoir d’eau courante.

Respecter une promesse.
Ah ! vivre ainsi, donner seulement ce qu’on a,
Repousser le rayon que l’orgueil butina,
N’avoir que robe en lin et chapelet de feuilles,
Mais jouir en son plein de la figue qu’on cueille,
Avoir comme une nonne un sentiment d’oiseau,
Croire que tout est bon parce que tout est beau,
Semer l’hysope franche et n’aimer que sa joie
Parmi l’agneau de laine et la chèvre de soie.

Cécile Sauvage.

S'essayer à la Distress.

Merci à vous qui passez me voir.

Geneviève.

Saisir l’instant tel une fleur
Qu’on insère entre deux feuillets
Et rien n’existe avant après
Dans la suite infinie des heures.
Saisir l’instant.

Nos atc de Mars arrivent thème fleurs rouges.

Saisir l’instant. S’y réfugier.
Et s’en repaître. En rêver.
À cette épave s’accrocher.
Le mettre à l’éternel présent.
Saisir l’instant

Ce mois ci je recevais de Elisa.

Une rose ancienne très belle.

Saisir l’instant. Construire un monde.
Se répéter que lui seul compte
Et que le reste est complément.
S’en nourrir inlassablement.
Saisir l’instant.

La mienne est partie en Suisse chez Sandrine.

Modèle Véronique Enginger en 1 fil sur 1 fil.

Saisir l’instant tel un bouquet
Et de sa fraîcheur s’imprégner.
Et de ses couleurs se gaver.
Ah ! combien riche alors j’étais !
Saisir l’instant.

Les deux.

Saisir l’instant à peine né
Et le bercer comme un enfant.
A quel moment ai-je cessé ?
Pourquoi ne puis-je… ?

Esther Granek.

Avec la carte qui l'accompagne.

Merci pour ce bel échange de déconfinement Elisa.

Merci à vous qui passez me voir.

Geneviève.

Eh bien ! mêle ta vie à la verte forêt !
Escalade la roche aux nobles altitudes.
Respire, et libre enfin des vieilles servitudes,
Fuis les regrets amers que ton cœur savourait.

Entrons dans le bois.

Dès l’heure éblouissante où le matin paraît,
Marche au hasard ; gravis les sentiers les plus rudes.
Va devant toi, baisé par l’air des solitudes,
Comme une biche en pleurs qu’on effaroucherait.

Les futures fraises pour le renard.

Cueille la fleur agreste au bord du précipice.
Regarde l’antre affreux que le lierre tapisse
Et le vol des oiseaux dans les chênes touffus.

Un futur géant.

Marche et prête l’oreille en tes sauvages courses ;
Car tout le bois frémit, plein de rythmes confus,
Et la Muse aux beaux yeux chante dans l’eau des sources.

Juillet 1842. Théodore de Banville.

20 000 lieux sous les mers.

Ce n'était pas une empreinte d'éléphant.

La porte du terrier de Jeannot Lapin, mais que voyez-vous?

Regardez bien!!!

Le dîner des lutins.

Là où pousse le bonheur. Mais chut c'est un endroit secret!!!

Les fleurs de ronce.

A faire pâlir d'envie une brodeuse.

Se souvenir du 8 Mai 1945.

La vie continue malgré tout.

Les cannes des fougères.

La pervenche.

La transparence des feuilles.

Reprendre la route du retour.

Finalement elle n'était pas au bois,

c'était ses pas dans le bois derrière nous?

Qui sait!!!

Les fleurs d'un bégonias.

Fin de la promenade, bon dimanche à vous.

Merci à vous qui passez me voir.

Geneviève.

Comme on voit sur la branche au mois de mai la rose,
En sa belle jeunesse, en sa première fleur,
Rendre le ciel jaloux de sa vive couleur,
Quand l’Aube de ses pleurs au point du jour l’arrose;

La grâce dans sa feuille, et l’amour se repose,
Embaumant les jardins et les arbres d’odeur;
Mais battue, ou de pluie, ou d’excessive ardeur,
Languissante elle meurt, feuille à feuille déclose.

Prendre le temps de la finition.

Boutons de nacre de chez Françoise et ruban rococo chiné.

Ainsi en ta première et jeune nouveauté,
Quand la terre et le ciel honoraient ta beauté,
La Parque t’a tuée, et cendres tu reposes.

Pour obsèques reçois mes larmes et mes pleurs,
Ce vase plein de lait, ce panier plein de fleurs,
Afin que vif et mort, ton corps ne soit que roses.

Pierre de Ronsard (1560).

Le jardin de June (extrait) - Créations Gribouille à Petits Points.

Merci à vous qui passez me voir.

Geneviève. 

Que me veux-tu, chère fleurette,
Aimable et charmant souvenir ?
Demi-morte et demi-coquette,
Jusqu’à moi qui te fait venir ?

Sous ce cachet enveloppée,
Tu viens de faire un long chemin.
Qu’as-tu vu ? que t’a dit la main
Qui sur le buisson t’a coupéé?

Créer une jolie grille le 11 et le 13 la voilà disparue de l'ordinateur.

Elle s'appelait ZEN!!!   Rhhh!!!!!

Heureusement la factrice m'a apportée la superbe carte de Li pour Avril.

N’es-tu qu’une herbe desséchée
Qui vient achever de mourir ?
Ou ton sein, prêt à refleurir,
Renferme-t-il une pensée ?

Ta fleur, hélas ! a la blancheur
De la désolante innocence ;
Mais de la craintive espérance
Ta feuille porte la couleur.

As-tu pour moi quelque message ?
Tu peux parler, je suis discret.
Ta verdure est-elle un secret ?
Ton parfum est-il un langage ?

S’il en est ainsi, parle bas,
Mystérieuse messagère ;
S’il n’en est rien, ne réponds pas ;
Dors sur mon coeur, fraîche et légère.

Je connais trop bien cette main,
Pleine de grâce et de caprice,
Qui d’un brin de fil souple et fin
A noué ton pâle calice.

Modéle Lilli Violette

Allez faire un tour sur son site elle a de magnifiques nouveautés.

Cette main-là, petite fleur,
Ni Phidias ni Praxitèle
N’en auraient pu trouver la soeur
Qu’en prenant Vénus pour modèle.

Elle est blanche, elle est douce et belle,
Franche, dit-on, et plus encor ;
A qui saurait s’emparer d’elle
Elle peut ouvrir un trésor.

Mais elle est sage, elle est sévère ;
Quelque mal pourrait m’arriver.
Fleurette, craignons sa colère.
Ne dis rien, laisse-moi rêver.

Alfred de Musset.

Merci Li j'adore!!! Elle est colorée et gaie bravo!!!

Les affamés du jour.

Laquelle choisir?

Pauvre Maman toute ratouillée,

les petits commencent à picorer maladroitement.

A suivre des atc et du papier.

Merci à vous qui passez me voir.

Geneviève.