Ce fut un grand Vaisseau taillé dans l’or massif:
Ses mâts touchaient l’azur, sur des mers inconnues;
La Cyprine d’amour, cheveux épars, chairs nues
S’étalait à sa proue, au soleil excessif.

Mais il vint une nuit frapper le grand écueil
Dans l’Océan trompeur où chantait la Sirène,
Et le naufrage horrible inclina sa carène
Aux profondeurs du Gouffre, immuable cercueil.

Si vous n'avez pas le mal de mer,

pas peur des fantômes alors ce livre est  pour vous! Suart

nous entraîne à bord du Sardaam :

intrigues, amour,

meurtres, rituelles, sorcellerie dépaysement garanti!!

Il m'a suivi au jardin, puis jusqu'à 2 heures du matin

et j'ai ragé de ne pas pouvoir le finir

mais bon j'ai sombré c'est le cas de le dire!!!

Dénouement le lendemain.

L'étrange traversée du Saardam.

Stuart Turton. Editions 10/18

Ce fut un Vaisseau d’Or, dont les flancs diaphanes
Révélaient des trésors que les marins profanes,
Dégoût, Haine et Névrose, entre eux ont disputés.

Que reste-t-il de lui dans la tempête brève ?
Qu’est devenu mon coeur, navire déserté ?
Hélas! Il a sombré dans l’abîme du Rêve !

Emile Nelligan.

A venir d'autres beaux  moments de lecture.

La coquine est revenue où

elle a passé l'adresse à une de ses soeurs!!!

Elle est partie  avec tous cela.

Merci à vous qui passez me voir.

Geneviève.

Une petite news est partie dans vos chez vous.

J'espère que vous aimerez Angélina.

Douce soirée.

Merci à vous qui passez me voir.

Geneviève.

Pour celles et ceux  qui souhaiteraient

faire une version en largeur comme Malène ici

j'ai rajouté une ligne pour que la phrase s'adapte aux cadres. 

Ephémère

Merci de ne pas faire de lien direct avec mes grilles

sur les blogs, forums et réseaux sociaux. 

Les grilles seront supprimées du blog au fur et à mesure.

Pour suivre le Sal il n'y a pas de groupe

pour répondre à l'une d'entre vous chacune avance à son rythme.

Certains mails via contacter l'auteur

finissent encore en spam je ne sais pas pourquoi?

Alors si je ne vous réponds pas

mettez votre commentaire dans les commentaires.

Je vous programme tout le Sal jusqu'à la fin de l'année

ce sera tous les 1 ou 2 de chaque mois.

Merci à vous qui passez me voir.

Geneviève.

C’est un lapin choyé
Entouré de faveurs
Il a de grands yeux bleus
De beaux grands lacs rieurs

Tous deux peuplés d’oiseaux
Et de roseaux qui jasent
Qui chantent tout comme l’eau
Plutôt que faire des phrases

Le vent fait jouer ses cils
Ils ne cessent d’ondoyer
Aigrettes martin-pêcheur
En on fait leur foyer
C’est un site enchanteur
Sur ses bords les pêcheurs
Viennent s’y aligner

Aujourd'hui la version de Malène du Sal Calendrier

sur une bande Aïda,

belle idée bravo je vais découvrir comme vous ce que cela donnera dans ce format!!!

Au fil de l'an sur la toile mes aiguilles ont semé le Bonheur 30 01 2023.

Créations Gribouille à Petits Points 2023.

C’est un lapin agile
Que le monde ravit
Il sourit à la vie
Et même aux imbéciles

Il aime l’eau mais pas que
Au joli mois d’avril
Sitôt que sonnent les cloches
Que les enfants des villes
Partent faire la chasse aux œufs
Il court derrière eux

 Alain Hannecart.

Merci à vous qui passez me voir.

Geneviève.

Un poème, c’est un pot pourri
D’odeurs suaves et puantes
D’humeurs passagères et changeantes
Où se déposent nos rêveries.

Atelier céramique entre filles fin mars chez Terre Sauvage (Allier 03),

il a fallu attendre la cuisson des pièces pour voir les couleurs et le résultat.  

Chacune choisissait ce qu'elle voulait faire.

Pour ma part un oiseau et un oeil porte bonheur. 

Un poème, c’est un pot de terre
Une céramique d’argile tendre
Fragile, qui risque de se fendre
Quand s’y déposent nos colères.

Un poème, c’est une poterie
Aux lignes courbes, ovales et rondes
Qui vous fait faire le tour du monde
Sur le long-courrier de la vie.

L'oiseau vert tout dodu a été modelé.

C’est le pot-aux-roses, c’est l’écuelle
Où se répandent les larmes
Les frayeurs et les alarmes
C’est la coupe pleine qui se fêle.

L'oeil a été fait à partir d'emporte pièce lui sera offert.

C’est le récipient modeste
Aux contours pleins de couleurs
Qui conserve du bonheur
Les plus indicibles gestes.

Brigitte Beaudin.

Merci à vous qui passez me voir.

Geneviève.

Mon jardin si petit, si riant, si coquet
Propose gentiment son calme et sa fraîcheur
Groupant toutes ses fleurs, il forme un grand bouquet
Le chèvrefeuille ocré diffuse sa senteur.
Le rosier vermillon croule sous le portail
Offrant au vent léger son parfum épicé
Et s'ouvre pleinement en un large éventail

Des nouvelles de mes plantations,

mes lys de la Madone sont pris j'en ai gardé deux l'autre a été offert. 

Celui-ci était en passe d'être étouffé par la bourrache

après avoir eu des feuilles mangé,

elle je l'ai déplacé et elle est repartie pour de belle fleurs.

Sur le support ancien de bois entrelacé.

Le lierre allègrement monte le long du mur
Dans ses feuilles parfois se faufile un oiseau
Ce minuscule Eden couronné par l'azur
S'arrête court devant les perles d'un rideau.
Marie-Antoinette CORDINA-FONTANA

Mes narcisses Rip Van Wickle tout ébouriffés

ont fait de belles fleurs lourdes.

J'ai eu de belles tulipes et narcisses.

Côté nouveauté un rosier, une pivoine et des framboisiers.

Les poireaux achèvent la saison (des monstres de 840 g) et les choux aussi.

Les semis de cosmos sont fait et tout un tas de petites fleurs ce sera la surprise.

Place aux nouvelles cultures auront nous de l'eau.

Merci à vous qui passez me voir.

Geneviève.

Ayant poussé la porte étroite qui chancelle,
Je me suis promené dans le petit jardin
Qu'éclairait doucement le soleil du matin,
Pailletant chaque fleur d'une humide étincelle.
Rien n'a changé. J'ai tout revu : l'humble tonnelle

Poussons la porte de la fenêtre pour voir les fleurs

cette année une jolie potée.

Quelques plants achetés séparément chez Lidl

pour un jardin miniature.

De vigne folle avec les chaises de rotin...
Je jet d'eau fait toujours son murmure argentin
Et le vieux tremble sa plainte sempiternelle.
Les roses comme avant palpitent; comme avant,
Les grands lys orgueilleux se balancent au vent,
Chaque alouette qui va et vient m'est connue.
Même j'ai retrouvé debout la Velléda,
Dont le plâtre s'écaille au bout de l'avenue,
- Grêle, parmi l'odeur fade du réséda.

Verlaine.

Primevères.

Myosotis.

Pâquerettes.

Au loin les pensées jaunes.

De quoi mettre un peu de soleil sur le fenêtre de la cuisine,

le tout dans un bac à réserve d'eau

cela fait la différence pour cette fenêtre en plein sud.

Merci à vous qui passez me voir.

Geneviève.

Calme jardin,
Grave jardin
Jardin aux yeux baissés au soir
Pour la nuit
Peines et rumeurs,
Toutes les angoisses bruissantes de la ville
Arrivent jusqu’à moi, glissant sur les toits lisses,
Arrivent à la fenêtre

Clara vit recluse auprès d'une mère qui la surprotège

et d'un beau-père omniprésent.

Clara à la maladie des os de verres.

Le décès de sa mère est une source de découverte du monde extérieur.

J'ai adoré ce roman qui a une fin inattendue.

Un jardin de mensonges.

Susan Fletcher.

J'ai lu.

Penchée, tamisée par les feuilles menues et tendres et pensives.
Mains blanches,
Gestes délicats,
Gestes apaisants,
Mais l’appel du tam-tam
Bondissant
Par monts
Et
Continents,
Qui l’apaisera mon coeur,
A l’appel du tam- tam
Bondissant,
Véhément
Lancinant?
Léopold  Sedar Senghor.

Merci à vous qui passez me voir.

Geneviève.

Si tout n’était
que brouillards enchevêtrés
que papiers d’ombres
si tout n’était
que danses des solitudes
que définitives complexités
si tout n’était.

Voyages japonais.

Et si on pouvait envoyer des messages aux disparus

par le biais d'une cabine téléphonique.

Basé sur un lieu réel se roman est pleins de questionnements

ceux de Yui, de Takeshi et de sa petite fille.

Ce que nous confions au vent.

Laura Imai Messina.

10/18.

Rose part à la découverte de son père décédé.

Parcours au milieu des fleurs, des contes, avec Paul. 

Et la mousse qui nous guide roman plein de délicatesse, découverte du Japon,

mon préféré des trois.

Une rose seule.

Muriel Barbery.

Babel.

. 

Remonter le temps en prenant un café

et si malheureusement le café est froid resté prisonnier.

Un peu de mal à rentrer dans l'histoire de celui-ci

je l'ai abandonné à lire cette été.

Tant que le café est encore chaud.

Toshikazu Kawaguchi.

Le livre de poche.

que bouleversements inquiets
que pénombres étouffantes
si tout n’était
que
n’était
si

Didier Venturini, Entrelacs,

Copyright © tim buctu éditions 2015.

Merci à vous qui passez me voir.

Geneviève.

Dormir, la lune dans un œil et le soleil dans l’autre,
Un amour dans la bouche, un bel oiseau dans les cheveux,
Parée comme les champs, les bois, les routes et la mer,
Belle et parée comme le tour du monde.

Folle je ne suis pas folle ainsi parle Clara

enfermée dans un asile à 18 ans parce qu'elle a refusé d'obéir.

Ellen Marie Wiseman nous fait découvrir le pouvoir de l'amour

et toute l'horreur de l'enferment abusif dans un asile.

Ce qu'elle a laissé derrière elle.

Ellen Marie Wiseman.

Pocket.

Mabel est prise de crises tout porte à croire qu'elle est possédée,

elle sera enfermée pour ne pas gêner son père qui fait parti du mouvement eugénisme.

Parcours d'une maman pour garder son enfant épileptique

L'enfant du secret.

Lousie Fein.

Hauteville .

Deux romans qui traitent de l'enfermement abusif. 

Fuis à travers le paysage,

Parmi les branches de fumée et tous les fruits du vent,
Jambes de pierre aux bas de sable,
Prise à la taille, à tous les muscles de rivière,
Et le dernier souci sur un visage transformé.

Paul Eluard.

 A suivre lecture, jardin, poterie.

Merci à vous qui passez me voir.

Geneviève.