Quand je n’ai rien à faire, et qu’à peine un nuage
Dans les champs bleus du ciel, flocon de laine, nage,
J’aime à m’écouter vivre, et, libre de soucis,
Loin des chemins poudreux, à demeurer assis
Sur un moelleux tapis de fougère et de mousse,
Au bord des bois touffus où la chaleur s’émousse.
Là, pour tuer le temps, j’observe la fourmi
Qui, pensant au retour de l’hiver ennemi,
Pour son grenier dérobe un grain d’orge à la gerbe,
Le puceron qui grimpe et se pend au brin d’herbe,
La chenille traînant ses anneaux veloutés,
La limace baveuse aux sillons argentés,
Et le frais papillon qui de fleurs en fleurs vole.
Ensuite je regarde, amusement frivole,
La lumière brisant dans chacun de mes cils,
Palissade opposée à ses rayons subtils,
Les sept couleurs du prisme, ou le duvet qui flotte
En l’air, comme sur l’onde un vaisseau sans pilote ;
Et lorsque je suis las je me laisse endormir,
Au murmure de l’eau qu’un caillou fait gémir,
Ou j’écoute chanter près de moi la fauvette,
Et là-haut dans l’azur gazouiller l’alouette.

Théophile Gautier

Pour fêter le mois d'Août et ces journées étouffantes

en sac de plage, à livre .etc. .....belle broderie à vous. Ephémère.

Merci de ne pas faire de lien direct avec cette grille sur les forums, réseaux sociaux et blogs.

Merci à vous qui passez me voir.

Geneviève.

Libeerty Jane et Libeerty Jack  06 07 2020.

Créations Gribouille à Petits Points.

Après Juillet j'ai eu besoin de fraîcheur.

Toile Aïda 8 irisée Zweigart.

Le Noël de Sophie 22 07 2020.

Créations Gribouille à Petits Points.

Mais qui est Sophie!!! A suivre.

Les nouveautés veulent être brodées alors le reste attend.

Les roses de notre sortie Atelier en Montagne  Bourbonnaise.

Un pique nique géant pour sept filles et juste le plaisir de buller au frais!!

Merci pour vos photographies des devoirs de vacances qui arrivent à suivre!!!

Merci à vous qui passez me voir.

Geneviève.

Si l'amour était ce que la rose est,
  Et si j'étais semblable à un pétale,
Nos vies avanceraient ensemble
Par temps triste ou riant.
Algernon Charles Swinburne (1837-1909)

Pour mes petits rubans

j'ai choisi une présentation broche dans de petits sachets roses

merci à vous deux ils sont parfaits.

Ruban de satin rose sur mon lin ancien  

quelques jolis points de petites épingles et un joli charm coeur.

Le ruban a sa propre épingle pouvant  être aussi porté seul.

La broche point d'araignée petits points de noeuds feuilles en ruban

contour avec des perles.

Des versions toutes différentes car chaque femme est unique.

Un peu de fil bronze.

Voilà les première à suivre...

Merci à vous qui passez me voir.

Geneviève.

Caillou a encore été très rapide bravo à toi,

pour une jolie page d'éducation civique.

J'espère que vous vous amusez bien sur votre page généalogie.

Bon dimanche pour moi une belle trouvaille rouge en brocante!!!

A suivre mes petits rubans.

Merci à vous qui passez me voir.

Geneviève. 

Ils se multiplient tous en remontant les ans  

S'évanouissent ensuite dans la nuit des temps.  

Leur nombre exponentiel me donne le vertige.  

Ils forment une branche, un rameau, une tige,  

De plus en plus petits, de plus en plus lointains.  

Mais que serait mon arbre sans cet apport sans fin ?  

C'est dans cette abondance qu'il vient puiser sa sève,  

Dans cet aspect touffu qu'enfin prend corps mon rêve

Avant de s'en aller, hélas, à tout jamais,  

Ils ont pleuré, dansé et ils se sont aimés.  

Ils ont connu des joies, des drames, des souffrances,  

La famine, le froid, le bonheur, les errances,  

Les invasions, la peur, le progrès et la paix,  

Ont manié la faux, le rouet ou l'épée,  

Se déplaçant à pied, à cheval, en carrosse,  

Restant près du clocher ou bien roulant leur bosse.  

A travers les époques, les coutumes, les lois,  

Avec des empereurs, des présidents, des rois  

Du fabricant de drap au maréchal ferrant  

Du pauvre journalier au riche paysan,  

Sur une vaste fresque que chacun d'eux a peinte.  

Sans se douter, qu'un jour, sur un ordinateur  

Leur existence enfin serait mise à l'honneur !  

Sans cette chaîne humaine, sans ces précieux maillons  

Qu'ils soient en beaux atours ou qu'ils soient en haillons,  

Sans ces vies, ces naissances, ce cycle interminable  

Qui n'était pas pour eux toujours très charitable,  

Sans ce fil qu'ont tissé maintes générations,  

Avec persévérance, avec obstination,  

Je ne serais pas là pour leur dire merci.  

Oui, ce sont mes ancêtres !.        

Peut-êtr' les vôtres aussi ?

Annie ARMAND-NOUVEL.

A l'époque de ma scolarité en section primaire

cet exercice faisait partie des travaux à faire à la maison.

Alors pour les vacances je vous propose de remplir les cartouches

avec seulement les initiales de vos ancêtres.

L'article de Violine m'a soufflé cette idée pour le cahier,

bonne recherche et amusez-vous bien!!!

 Si vous ne voulez pas broder l'intérieur des cases

il vous reste la chasse aux initiales!!!

Ephémère.

La suite du cahier en Août.

Bon 14 Juillet.

Vous pouvez voir les pages réalisées dans l'album.

Merci à vous qui passez me voir.

Geneviève. 

J'espère que mon petit 14 Juillet est bien arrivé chez vous.

Belle soirée.

Merci à vous qui passez me voir.

Geneviève.

Voilà donc à quoi ressemble la couverture des devoirs de Vacances.

Comme je suis mauvais élève

et que pour l'instant chez moi seul le mot devoirs est brodé

je vous présente la version de Caillou.

Merci à toi !!!

Le plaisir toujours renouvelé de découvrir mes gribouillages brodés par vos soins.

Si comme Caillou vous voulez m'envoyer une image de vos avancées

donnez moi votre mail via contacter l'auteur.

Françoise, Madame il est 5 heures nous propose un SAL Noël

l'occasion de broder une de ses adorables créations

je suis tombée dedans pour une projet très mystérieux...

Merci à vous qui passez me voir.

Geneviève.

La Newsletter est partie chez vous

(elle arrivera aujourd'hui où demain suivant Mr Canalblog)!!!!

Ne prenez pas ombrage de son contenu mais parfois il faut exprimer sa pensée

et de nos jours c'est assez simple de s'abonner à une Newsletter !!!!

Fin de la parenthèse. Merci.

Pour cette page  le Marquoir Alexandra David NEEL

qui fût une grande voyageuse et il faut le dire un drôle de personnage pour son époque.

L'aventure devait être tout de même formidable!!!

Si vous désirez une page particulière quelque chose qui vous ferai plaisir

un commentaire ci-dessous ou via contactez l'auteur.

Si vous voulez m'envoyer une photographie de vos avancées

contactez l'auteur je vous donnerai un mail.

J'ai commencé hier ma couverture,

 et comme je peine un peu à la lecture de la grille

(toujours le cordonnier le plus mal chaussé)

je vous met une version  plus grande Ici pour plus de confort.

J'ai choisi ma toile étamine Floba extra fine ficelle 14 fils de chez Zweigart

pour son côté un peu ancien et sa trame régulière,

pour les couleurs 304, 931 et peut être le blanc à la place du 822.

Mon avancée à suivre demain en images.

Mettez de côté initiales, boutons, dentelles...

Merci à vous qui passez me voir.

Geneviève.

Chaque enfant qu'on enseigne est un homme qu'on gagne.
Quatrevingt-dix voleurs sur cent qui sont au bagne
Ne sont jamais allés à l'école une fois,
Et ne savent pas lire, et signent d'une croix.
C'est dans cette ombre-là qu'ils ont trouvé le crime.
L'ignorance est la nuit qui commence l'abîme.
Où rampe la raison, l'honnêteté périt.

Dieu, le premier auteur de tout ce qu'on écrit,
A mis, sur cette terre où les hommes sont ivres,
Les ailes des esprits dans les pages des livres.
Tout homme ouvrant un livre y trouve une aile, et peut
Planer là-haut où l'âme en liberté se meut.
L'école est sanctuaire autant que la chapelle.
L'alphabet que l'enfant avec son doigt épelle
Contient sous chaque lettre une vertu ; le coeur
S'éclaire doucement à cette humble lueur.
Donc au petit enfant donnez le petit livre.
Marchez, la lampe en main, pour qu'il puisse vous suivre.

La nuit produit l'erreur et l'erreur l'attentat.
Faute d'enseignement, on jette dans l'état
Des hommes animaux, têtes inachevées,
Tristes instincts qui vont les prunelles crevées,
Aveugles effrayants, au regard sépulcral,
Qui marchent à tâtons dans le monde moral.
Allumons les esprits, c'est notre loi première,
Et du suif le plus vil faisons une lumière.
L'intelligence veut être ouverte ici-bas ;
Le germe a droit d'éclore ; et qui ne pense pas
Ne vit pas. Ces voleurs avaient le droit de vivre.
Songeons-y bien, l'école en or change le cuivre,
Tandis que l'ignorance en plomb transforme l'or.

Je dis que ces voleurs possédaient un trésor,
Leur pensée immortelle, auguste et nécessaire ;
Je dis qu'ils ont le droit, du fond de leur misère,
De se tourner vers vous, à qui le jour sourit,
Et de vous demander compte de leur esprit ;
Je dis qu'ils étaient l'homme et qu'on en fit la brute ;
Je dis que je nous blâme et que je plains leur chute ;
Je dis que ce sont eux qui sont les dépouillés ;
Je dis que les forfaits dont ils se sont souillés
Ont pour point de départ ce qui n'est pas leur faute ;
Pouvaient-ils s'éclairer du flambeau qu'on leur ôte ?
Ils sont les malheureux et non les ennemis.
Le premier crime fut sur eux-mêmes commis ;
On a de la pensée éteint en eux la flamme :
Et la société leur a volé leur âme.

Victor Hugo.

Pour notre histoire il nous faut des bases,

nous commencerons donc par une page "Éducation Civique"

j'ai pris la liberté de rajouter instructrice à cet arrêté de 1887

l'éducation des filles n'étant pas une priorité à cette époque

elle ne l'est pas plus maintenant dans certains pays.

Pour l'heure de nombreux enfants auront décroché en France

j'espère que Maîtres et Maîtresses arriveront à les aider car sans éducation nous ne sommes rien.

Maintenant à vous de jouer faites selon vos goûts, vos envies.

Ephémère

Merci de ne pas faire de lien direct avec cette grille

sur les forums, réseaux sociaux et blogs.

Les copies seront ramassées à la fin de l'examen.

Il y aura des cours Anglais et Espagnol en option.

Merci de votre accueil concernant ce projet.

Merci à vous qui passez me voir.

Geneviève.

Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage,
Ou comme cestuy-là qui conquit la toison,
Et puis est retourné, plein d'usage et raison,
Vivre entre ses parents le reste de son âge !

Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village
Fumer la cheminée, et en quelle saison
Reverrai-je le clos de ma pauvre maison,
Qui  m'est une province, et beaucoup davantage ?

Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux,
Que  des palais Romains le front audacieux,
Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine :

Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin,
Plus mon petit Liré, que le mont Palatin,
Et plus que l'air marin la doulceur angevine.

Joachim du Bellay.

Pénélope en avait assez d'attentre Ulysse,

elle est partie en promenade avec ses Devoirs de Vacances...

à la plage, à la montagne ou tout simplement chez vous voici de quoi vous amusez...

Temps incertains, chagrins et un beau matin une envolée de petits points.

Je vous offrirai certaines pages ici ou par la Newsletter et d'autres pas.

Petit livret au long court entre modernité et passé, à broder à son rythme qui s'enrichira

des Frises, des Abc et Marquoirs, des Brocantes,

des Leçons de Morale, de Belles phrases, de Poèmes  et de Pages vides pour vos Trésors.

Si vous voulez voir apparaître

dans ce petit livret certaines phrases ou idées dans la mesure du possible

je me ferai une joie de répondre présente et les pages apparaîtront évidemment sur le blog

pour cela dites le moi dans  les commentaires ou par contacter l'auteur

mon ancien gmail ne fonctionne plus.

J'espère que cette idée d'un voyage sur toile vous plaîra...

Edit de 17 h 24 puisque que cela vous plaît

je vous montre la suite... je ne sais pas à quel rythme elles seront publiées...

Des pages que vous pourrez assembler au point avant...

ou monter comme bon vous semblera.

Ephémères.

 Merci de ne pas faire de lien direct avec cette grille

sur les réseaux sociaux, forums et blogs.

Merci à vous qui passez me voir.

Geneviève.