La ruche est pleine de miel
Et l'apiculteur s'émerveille
Combien de pots
Vais-je faire
De ce bon miel.
Merci, petites abeilles
De travailler aussi bien
Pourvu que cet été
Dame nature nous gâte
De ses bienfaits.

Je suis comme les abeilles attirée par les hexagones!!!

Cécile Franconie nous charme par ses ouvrages il est bien difficile de résister.

Cette fois-ci un jardin d'hiver de lainage et de velours.

Le velours orange  à gauche est ma Madeleine de Proust

il me suit depuis environ 40 ans,

il attend son bel ouvrage un morceau par ci par là..

Déjà utilisé ici pour mes broches.

Je garde le reste pour le patch au coeur de Cécile.

Plus d'insecticide nocif
C'est merveilleux
Ils ont enfin compris
Que les engrais naturels
Qui sauveraient la planète.
Prise de conscience
Ou compétence
Nul ne le sait
Mais les abeilles reviennent.

Marie France Beaujan.

Broder les hexagones peut être ou pas je vais voir

sinon je le ferai sans broderie.

En plus une idée saugrenue utiliser des lainages à carreaux!!!

Voilà ce que cela donne,

j'ai touvé un velours rouge plus épais pour les entre deux 

et pour le contour un noir aussi épais pas de velours de soie dans les magasins.

 Si vous aimez les hexagones c'est différent doux,

lumineux et pas les mêmes préoccupations de masquage de point

comme avec du tissu.

L'idée utiliser un peu ce que j'ai.

Merci à vous qui passez me voir.

Geneviève.

Que de ces prés l’émail plaît à mon cœur !
Que de ces bois l’ombrage m’intéresse !
Quand je quittai cette onde enchanteresse,
L’hiver régnoit dans toute sa fureur.

En début d'année je me suis laissée tenter par un nouveau livre brodé en interactif .

Maryléne a choisi de magnifiques tissus et nous montre comment agencer les pages.

Et cependant mes yeux demandoient ce rivage ;
Et cependant d’ennuis, de chagrins dévoré.
Au milieu des palais, d’hommes froids entouré,
Je regrettois partout mes amis du village.
Mais le printemps me rend mes champs et mes beaux jours.
Vous m’allez voir encore, ô verdoyantes plaines !
Assis nonchalamment auprès de vos fontaines,
Un Tibulle à la main, me nourrissant d’amours.
Fleuve de ces vallons, là, suivant tes détours,
J’irai seul et content gravir ce mont paisible
Souvent tu me verras, inquiet et sensible,
Arrêté sur tes bords en regardant ton cours.

Je suis très en retard chacune à la même base mais fait avec ce qu'elle a.

J'ai repris l'idée des fleurs du morceau de patch ancien fourni

et cousu la lisière de tissu The spirit to create qui m'a amené à la phrase d'Albert.

J’y veux terminer ma carrière ;

Rentré dans la nuit des tombeaux,
Mon ombre, encor tranquille et solitaire,
Dans les forêts cherchera le repos.
Au séjour des grandeurs mon nom mourra sans gloire,
Mais il vivra longtemps sous les toits de roseaux,

Mais d’âge en âge en gardant leurs troupeaux,
Des bergers attendris feront ma courte histoire :

« Notre amî, diront-ils, naquit sous ce berceau ;
Il commença sa vie à l’ombre de ces chênes ;
Il la passa couché près de cette eau,
Et sous les Heurs sa tombe est dans ces plaines. »

François-René de Chateaubriand,

Tableaux de la nature, 1784-1790.

J'ai choisi une phrase d'Albert Einstein pour ce début.

"La créativité est contagieuse faire la tourner"

pour un livre j'aime l'idée loufoque.

Je n'avais pas mes initiales brodé alors j'ai mis une petite chine AM.

Il me reste à quilter la page,

et à avancer la page 4 est en cours avec de superbes techniques

et idées que je ne maîtrise pas.

Je vous montre l'avancé de mon petit chat en pyjama dans la semaine,

le livre est plutôt décousu,

Lorsqu'un souci arrive tout dérape.

J'ai commencé aussi un autre patch hexagones je sais j'exagère!!!!

Merci à vous qui passez me voir.

Geneviève.

Lorsque le temps s’emballe,
Au fur et à mesure la journée passe,
Une valse étourdissante bat la mesure.
Trois points de suspension,
Deux points d’explication,
Pour explorer les minutes qui s’écoulent.
Les engrenages s’entraînent,
Une virgule instaure le rythme,
Une apostrophe ponctue l’algorithme,
Des mots, des phrases, des lignes qui courent,
L’horizontal cherche la verticale,
Une idée puis une autre,
Un point final pour terminer.

Laetitia Sioen.

Prendre le temps

rattraper le retard sur  mon QAL Jemina' s Creative Quilting  

voilà la quatrième partie.

Le rang blanc qui fait une frontière 

Et le rang jaune. 

La cinquième partie  est en route

pour elle plus de rapidité nous parton dans les étoiles. 

Au final est ce que je finirai par aimer ce bleu

ou est ce que je mettrai un peu de peps dans cette géométrie.

Parce que pour l'instant il lui manque un grain de follie!!!!

Même si je le trouve très beau ce QAL.

A suivre ma Miette je ne suis guère en retard 2021.

Merci à vous qui passez me voir.

Geneviève.

Des milliers d’étoiles dans le ciel,
Des milliers d’oiseaux dans les arbres,
Des milliers de fleurs au jardin,
Des milliers d’abeilles sur les fleurs,
Des milliers de coquillages sur les plages,
Des milliers de poissons dans les mers,
Et seulement, seulement une maman.

André Bay.

Ma petite carte pour la fête des mères

et celle pour la fête des soeurs (c'est une maman aussi)

et il fallait une carte pour la journée famille.

Sous le signe des roses Mona Lisa.

Merci à vous qui passez me voir.

Geneviève.

Narcisse se regarde dans la glace
Il ne vit que pour soi
Pourquoi changerait-il de place
Dans son univers il est le roi

Narcisse se donne le beau rôle
Sur le grand échiquier
Il faut vite que ce soit drôle
Mais les pions sont jetés

Nos refuges solitaires
D’une société sans repères
Sont les temps qui courent

Quand seul sur ton île
Tu te sens trop fragile
C'est le réveil de l'amour

Le mal-être suppose
Le vide autour de toi
Quand tu dictes ta loi

Peu de broderie et d'ouvrage en ce mois de mai

sont sortis de sous mes aiguilles heureusement certaines veillent!

Merci à vous.

Je commence par Launisa et son bouquet de narcisses et les lapinous.

Ephémère

Narcisse, regardes dans la glace
Il ne reste que toi
Tu ne vois que ta face
Ou pile suivant tes traits

La vie est un outil
Apprends à t'en servir
Tu vis dans l'éxil
Il faut cesser de fuir

Le Sal calendrier de Malène sur bande brodée. Le début de sa bande ici.

Rien ne sera plus fort
Que l'envie d'éxister
Cherchons les bons accords
En gage de succès.

Alain Guérin.

Côté patchwork j'ai bien avancé mon  tea and cake

et fait une erreur il faut défaire,

mon qal avance à suivre la blanc est arrivé,

un peu de création et retour au jardin.

Drôle de mois de mai, le soleil va t 'il  me redonner du peps!!!

Merci à vous qui passez me voir.

Geneviève.

Voici le mois de mai
Un des mois le plus gai
Où tous les gens aimés
Reçoivent du muguet.

Voici le mois le mai
Où l’on fait ce qui plaît
On oublie les « jamais »
Et l’on panse ses plaies.

La version de Chantal sur son joli torchon avance.

On y croit, on renaît
On refait des projets,
C’est le mois de l’année
Où l’on se sent léger.

Au fil de l'an sur la toile mes aiguilles ont brodé le Bonheur 30 01 2023.

Créations Gribouille à Petits Points.

Voici le mois de mai
Et son premier férié,
De senteurs, embaumé…
Allez, quoi ! Souriez !

Claudie Becques. Un temps à broder

Le temps est propice à la broderie ou aux ouvrages divers

ici j'ai repris ma petite Miettes.

Merci à vous qui passez me voir.

Geneviève.

D’un souffle virginal le plus aimé des mois
Emplit l’air ; le lilas aux troncs moussus des bois
Suspend sa grappe parfumée ;
Les oiseaux sont joyeux et chantent le soleil ;
Tout sourit ; du printemps, tout fête le réveil :
Toi seule es triste, ô bien-aimée !

« Pourquoi ces yeux rêveurs et ce regard penché ?
De quel secret ennui ton cœur est-il touché ?
Qu’as-tu ma grande et pâle Amie,
Qu’as-tu ? Vois ce beau ciel sourire et resplendir !
Oh ! souris-moi ! Je sens mon cœur s’épanouir
Avec la terre épanouie.

« Sur le cours bleu des eaux, au flanc noir de la tour,
Regarde ! l’hirondelle est déjà de retour.
Ailes et feuilles sont décloses.
C’est la saison des fleurs, c’est la saison des vers.
C’est le temps où dans l’âme et dans les rameaux verts
Fleurissent l’amour et les roses.

« Soyons jeunes ! fêtons le beau printemps vainqueur !
Quand on est triste, Amie, il fait nuit dans le cœur ;
La joie est le soleil de l’âme !
Oublions ce que l’homme et la vie ont d’amer !
Je veux aimer pour vivre et vivre pour aimer,
Pour vous aimer, ma noble Dame !

Béa a gardé le rythme pour mai,

ne pas se laisser distancer et vous vous suivez!!!

Au fil de l'an sur la toile mes aiguilles ont brodé le Bonheur 30 01 2023.

Créations Gribouille à Petits Points.

« Loin de nous les soucis, belle aux cheveux bruns !
Enivrons-nous de brise, et d’air et de parfums,
Enivrons-nous de jeunes sèves !
Sur leurs tiges cueillons les promesses des fleurs !
Assez tôt reviendront l’hiver et ses rigueurs
Flétrir nos roses et nos rêves ! »

Et, tandis qu’il parlait, muette à ses côtés,
Marchait la grande Amie aux regards veloutés ;
Son front baigné de rêverie
S’éclairait à sa voix d’un doux rayonnement ;
Et, lumière de l’âme, un sourire charmant
Flottait sur sa lèvre fleurie.

Auguste Lacaussade.

Merci à vous qui passez me voir.

Geneviève.

Sur le coteau, là-bas où sont les tombes,
Un beau palmier, comme un panache vert,
Dresse sa tête, où le soir les colombes
Viennent nicher et se mettre à couvert.

Mais le matin elles quittent les branches ;
Comme un collier qui s’égrène, on les voit
S’éparpiller dans l’air bleu, toutes blanches,
Et se poser plus loin sur quelque toit.

Mon âme est l’arbre où tous les soirs, comme elles,
De blancs essaims de folles visions
Tombent des cieux en palpitant des ailes,
Pour s’envoler dès les premiers rayons.

Théophile Gautier.

Ephémère.

Créations Gribouille à Petits Points 2023.

Merci de ne pas faire de lien direct avec mes grilles

sur les réseaux sociaux, blogs et forums.

Merci à vous qui passez me voir.

Geneviève.

Galerie de tableaux, plafonds hauts

Odeur de vieux chêne, rien ne bouge

Le château abandonné se repose au loin

Façade égratignée par les années d'antan

Retour sur Randanplants (29 au 30 avril)

au domaine fête autour des plants fleurs, arbres.

Royal de Randan (Puy de Dôme 63).

Derrière les grilles

se cache le Château et un parc magnifique.

Jardin des oublis aux orties sauvages

Le château abandonné rêve en silence

Cristallerie ébréchée, argenterie tachée

Tapis de poussière sur chaque porcelaine

Le château abandonné regarde en arrière

Histoires mystérieuses, passages secrets

Courants d'air incessants dans les couloirs

Le château abandonné respire sereinement.

John Durili. 

En 1821 Louis Philippe et sa soeurAdélaïde

achètent un petit château et un petit domaine,

la constuction du Château actuel commence en 1822.

Louis Philippe n'est pas encore roi

il n'en profitera pas vraiment puisqu'il décède en exil (en 1848) 

 Adélaïde elle est décédée en 1847, le château est hérité,  il brûle en juillet 1925,

sert d'hôpital militaire pendant la seconde guerre mondiale.

En 1999 diverses pièces de mobilier, peintures sont vendus.

Finalement il est sauvé du démentèllement par le conseil régional en 2003.

Toutes les informations

ici Les amis du Domaine Royal de Randan.

Quelques vues du domaine.

Système ingénieux d'écoulement des eaux.

Sa Chapelle.

Assez fantômatique mais si beau. 10 hectares de parcs,

une cuisine de 8 salles voûtées, une orangeraie

et la collection d'animaux naturalisés de Ferdinand d'orléans.

J'ai préféré vous montrez le Château

plutôt que les vendeurs (vannier, horticuleurs, apiculteurs...)

très beau lieu pour une fête des plantes.

Côté achat une patate douce, du romarin, un hirondelle en fer.

Maintenant plus qu'à faire une visite de l'intérieur peut être cet été.

Merci à vous qui passez me voir.

Geneviève.

Aux branches claires des tilleuls
Meurt un maladif hallali.
Mais des chansons spirituelles
Voltigent parmi les groseilles.
Que notre sang rie en nos veines,
Voici s’enchevêtrer les vignes.
Le ciel est joli comme un ange.
L’azur et l’onde communient.
Je sors. Si un rayon me blesse
Je succomberai sur la mousse.

Ballade de fin avril.

Qu’on patiente et qu’on s’ennuie
C’est trop simple. Fi de mes peines.
je veux que l’été dramatique
Me lie à son char de fortunes
Que par toi beaucoup, ô Nature,
– Ah moins seul et moins nul ! – je meure.
Au lieu que les Bergers, c’est drôle,
Meurent à peu près par le monde.

Je veux bien que les saisons m’usent.
A toi, Nature, je me rends ;
Et ma faim et toute ma soif.
Et, s’il te plaît, nourris, abreuve.
Rien de rien ne m’illusionne ;
C’est rire aux parents, qu’au soleil,
Mais moi je ne veux rire à rien ;
Et libre soit cette infortune.

Arthur Rimbaud.

Drôles de bêtes.

Un peu crocodile celui-ci.

Merci à vous qui passez me voir.

Geneviève.