Les Papiers... fin
Ton doigt, léger d'abord, puis, timide et tremblant,
M'écrivait sur du papier blanc ;
Un mystère c'est mystérieux!!!
Un beau matin, ce fut sous la teinte discrète
D'une enveloppe violette,
Que, dissertant sur l'âme et l'amour. . . du bon Dieu,
Tu scellas un fin papier bleu ;
Un moment d'amour et des calins.
Le soir, tu m'adressas bien ravissante chose,
(T'en souvient-il ?) sur papier rose !
Le lendemain, ton cœur jaloux avait souffert
Et je reçus du papier vert.
Le mystère sépaissit...
Puis, toi qu'on dit si douce et que l'on voit si bonne,
Tu me lanças un papier jaune !...
Et voilà qu'aujourd'hui, pour me mystifier,
Tu prends du papier d'écolier !
Se sépare.
Ah ! pour qu'en ces couleurs j'ose ou veuille comprendre
C'est trop méchant ou c'est trop tendre !
Jules Canonge.
Pour ne faire plus qu'un tout.
Ne pas mesurer, ne pas réfléchir, couper, plier, couper et coller.
Oublier le temps, le temps d'un instant...
Regretter... de devoir tout ranger!!!
Refaire sous d'autres formes avec d'autres idées...
Merci à vous qui passez me voir.
Geneviève.