Le Voyageur...
À mon père
Las d’avoir visité mondes, continents, villes,
Et vu de tout pays, ciel, palais, monuments,
Le voyageur enfin revient vers les charmilles
Et les vallons rieurs qu’aimaient ses premiers ans.
Reprende le voyage
se décider et enfin trancher!!!!
Alors sur les vieux bancs au sein des soirs tranquilles,
Sous les chênes vieillis, quelques bons paysans,
Graves, fumant la pipe, auprès de leurs familles
Ecoutaient les récits du docte aux cheveux blancs.
Ce sera vert, turqoise et encore du rose.
Le printemps refleurit. Le rossignol volage
Dans son palais rustique a de nouveau chanté,
Mais les bancs sont déserts car l’homme est en voyage.
On ne le revoit plus dans ses plaines natales.
Fantôme, il disparut dans la nuit, emporté
Par le souffle mortel des brises hivernales.
Emile Nelligan.
Le voilà monté telle une voile au vent.
en route vers l'Asie.
Encore tous les hexagones de contour à faire et après à appliquer sur le fond
là aussi il faudra trancher entre les deux tissus du stock.
Les étoiles avancent,
les fenêtres ont eu besoin d'un vitrier et
il a fallu revoir tout les espoirs à la baisse et se contenter de peu.
Faire et défaire.
Merci à vous qui passez me voir.
Geneviève.