Les Jonquilles
J’errais solitaire comme un nuage
Qui flotte au-dessus des vallées et des monts,
Quand tout-à-coup je vis une nuée,
Une foule de jonquilles dorées ;
À côté du lac, sous les branches,
Battant des ailes et dansant dans la brise.
La pluie et la neige de janvier ont fait exploser la nature.
Drues comme les étoiles qui brillent
Et scintillent sur la Voie lactée,
Elles s’étendaient en une ligne sans fin
Le long du rivage d’une baie :
J’en vis dix mille d’un coup d’œil,
Agitant la tête en une danse enjouée.
Sous les feuilles la vie.
Les vagues dansaient à leurs côtés ; mais
Elles surpassaient les vagues étincelantes en allégresse :
Un poète ne pouvait qu’être gai,
En une telle compagnie :
Je les contemplais, les contemplais mais pensais peu
Au présent qu’elles m’apportaient :
Le fil n'est jamais très loin!!!
Les chatons.
Car souvent, quand je m’allonge dans mon lit,
L’esprit rêveur ou pensif,
Elles viennent illuminer ma vie intérieure
Qui est la béatitude de la solitude ;
Et mon cœur alors, s’emplit de plaisir
Et danse avec les jonquilles.
William WORDSWORTH
Traduction de Catherine RÉAULT-CROSNIER
Bourgeonnement.
Au creux d'un arbre.
Gouillat d'eau berceau de futures grenouilles?
Sommes-nous dans la cuve de l'aile ou la cuisse. Coluche va t'il en sortir?
Fleurs de givres.
Les insolites.
La petite maison dans la prairie.
Je me demandais s'ils étaient là vous le voyez.
Le cri.
Etonnant voire effrayant de réalité qu'elle sorcière maléfique la statufié.
Cherchez bien!!!
Comment est ce que cela tient debout mystère.
La grande allée et ses mystères.
Ma licorne toujours là.
Un oeil.
Les grands châtaigniers sont presques tous morts.
Un nouveau désespéré l'autre a disparu.
La fin.
Lui il est pas content du tout.
Il faut songer à rentrer.
Un peu de gui.
Les oiseaux ont laissé les baies.
Les cognassiers du Japon sont superbes.
Un petit bouquet.
Les violettes sentaient la violette.
Rien que du bonheur.
Bon dimanche.
Merci à vous qui passez me voir.
Geneviève.